Etudiant en arts plastiques à Paris 1 Panthéon-Sorbonne de 1983 à 1985, Hervé Magnin a un déclic pour la 3D. Le plaisir de modeler, sculpter évince complètement celui du dessin et de la peinture.
20 ans plus tard, le travail du bois vient compléter celui de la terre. Puis, viennent les concours en France et en Italie dans les années 2000 où il remporte quelques prix.
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